Noël… L’histoire Inédite

Pourquoi Noël n’est-il pas mentionné dans la Bible? Quel est le lien entre le « Père Noël » et le Christ? Quelle est la signification réelle du gui blanc, de la guirlande de houx, et des orbes sur les arbres? Jésus est-il vraiment né le 25 Décembre? Noël, quelle que soit son origine, c’est la saison commerciale la plus importante de l’année. Sans cette ancienne tradition d’échanger des présents à Noël, l’économie nationale recevrait un mauvais coup; en effet des milliers de commerces seraient en faillite. Vous serez surpris de découvrir la VÉRITÉ AUTHENTIQUE concernant cette plus importante fête entre toutes les fêtes chrétiennes.

Nimporte qui peut découvrir la vérité sur les origines païennes de Noël, en regardant simplement le mot, avec tous ses attributs et symboles, dans les grandes encyclopédies et les livres d’histoire. Avec le développement de l’Internet, il est encore plus facile pour ceux qui possèdent des ordinateurs, et ont accès à la Toile Mondiale. Cependant, très peu n’ont jamais pris la peine de le faire. Qu’en pensez-vous? Vous êtes-vous jamais vraiment interrogé sur certaines des coutumes que nous prenons fortuitement pour acquis? Avez-vous toujours voulu connaître la VÉRITÉ sur le symbolisme de « la messe du Christ », ou « Noël »?

De temps en temps, je verrai un article titré « Remettre Christ dans Noël », ou quelque chose de semblable. Mais il est impossible de « Remettre Christ dans Noël » puisqu’Il n’a jamais été dans Noël au départ! Aucun des apôtres du Christ n’a jamais entendu le terme; aucun d’eux n’a jamais célébré la naissance du Christ. Les mots Noël, guirlande de houx, gui, Rodolphe, Père Noël et arbre de Noël n’apparaissent nulle part dans la Bible.

La première véritable église n’a jamais entendu le mot Noël. Des siècles se sont écoulés avant que la grande église apostat n’adopte des pratiques purement païennes ainsi que la mythologie qui s’appelaient originellement « l’épiphanie » (en relation avec le baptême du Christ; qu’ils ont faussement daté en Janvier). Plus tard, des écrivains, ont commencé à demander une célébration au même temps que l’observation païenne du solstice d’hiver. Tout simplement parce que beaucoup de païens étaient déjà habitués à de « joyeuses » quelques fois même « bruyantes » fêtes orgiaques au temps du solstice d’hiver.

Chaque année, des articles sont écrits dans des milliers de publications à la période de Noël, admettant joyeusement que la véritable origine de la célébration est entièrement païenne, et non Chrétienne. De tels articles admettent que le Christ était probablement déjà né plusieurs mois avant le 25 Décembre; ils admettent également l’origine païenne de l’arbre de Noël, du « Père Noël », du gui, de la guirlande de houx, la bûche de Noël et des échanges de cadeaux.

Mais la plupart d’entre eux, continuent en expliquant que ce que nous appelons célébrations « Chrétiennes » ont remplacées les célébrations païennes, et sont de ce fait des coutumes parfaitement acceptables pour les Chrétiens. Est-ce Vrai? Dieu en voit-il une différence? Pourquoi les apôtres n’ont-ils pas célébré Noël, au lieu de s’attacher obstinément à la Paque Juive? Pourquoi la première église ne l’a-t-elle pas célébré pendant plusieurs siècles? Pourquoi l’avait-on interdit dans l’Amérique coloniale de début?

Avez-vous déjà pensé POURQUOI nous faisons les choses d’une certaine manière ? POURQUOI nous acceptons sans question l’Halloween, Noël, le Réveillon du Nouvel An, le Jour De La Marmotte, et le Jour du Poisson d’Avril? Combien de personnes ont vraiment fait des recherches pour savoir l’origine de plusieurs célébrations, et même pour se demander si elles sont Chrétiennes ou païennes ? Vous et moi, sommes nés dans un monde « tout fait ». Nous n’avions rien à faire pour l’adapter à nos gouts, tout était là, préparé pour nous, rempli de fêtes et coutumes qu’on nous a enseignées étant enfant (la plupart de nous). Quelle a été VOTRE réponse d’enfant lorsque vous avez appris que le Père Noël n’existait pas ? Ou, avez-vous adhéré au mythe du « Père Noël », sans penser que vos parents vous avaient trompé? Il y a plusieurs années, j’ai entendu un jeune homme dire, après qu’il ait réalisé qu’il n’y avait pas de Père Noël: « Bien, peut-être que je devrais aussi repenser cette histoire de Jésus Christ! »

Je n’avais jamais recherché des informations sur Noël avant d’être dans la vingtaine, et déjà marié. Je l’ai fait, pas tellement pour prouver que c’était bien de célébrer Noël, mais pour essayer de comprendre si mon père, qui proclamait que tout cela était païen, et qui prêchait vigoureusement contre toutes ces pratiques, avait raison ou non. Bien sûr, j’étais considéré comme « un personnage bizarre » dans mon quartier et mon école, lorsqu’arrivait le temps de chanter des chants de Noël et de décoration de l’arbre. Je voulais désespérément me conformer à tout ce qui se passait autour de moi. De toute façon, Noël semblait tellement AMUSANT!

En tant que jeune garçon, j’ai fortement envié mes camarades de voisinage et mes copains d’école. Ils étaient tous joyeux et avaient « l’esprit de Noël ». Mes parents n’observaient pas la fête de Noël. Je ne me rappelle pas une occasion où nous avons eu un arbre de Noël, où les membres de la famille aient échangé des cadeaux ou chanté des chants de Noël. Mon père, qui était prédicateur, a toujours affirmé avoir une preuve biblique et historique que toute cette célébration était « païenne jusqu’au fond », tel qu’il le disait invariablement.

Pour cela, d’une perspective familiale, je redoutais Noël.

Mais à l’école et avec mes amis du voisinage, j’aimais Noël. Je voulais tellement y participer; pouvoir partager la « Période de Noël », et spécialement trouver mes chaussettes rempli de succulentes friandises, ou tout simplement imiter les cènes des enfants autour de l’arbre de Noël, ouvrant joyeusement les boîtes colorées et si bien enveloppées, et partageant leurs premières heures avec leurs nouveaux bicyclettes ou leurs petits trains rouges.

Ma mère me permettait de participer jusqu’à un certain point. À l’école primaire, nous prenions dans une boîte le nom d’un autre élève de la classe, et chaque élève était encouragé à acheter un présent pour celui dont il avait sorti le nom. Mais comme c’était la période de la Grande Dépression, mes parents n’avaient pas beaucoup d’argent. Dix centimes représentait une forte somme à dépenser pour un présent. Une vive frustration est arrivé lorsque ma mère m’a amené au magasin de cinq et dix centimes et m’a aidé à acheter une petite bouteille de parfum pour cinq sous et l’a enveloppée pour que je puisse la donner à la fille dont j’avais pris le nom. J’étais tout à la fois appréhensif, excité et impatient à voir ce que j’allais trouver sur mon pupitre lors de la « célébration de Noël » en classe, pour ne découvrir qu’un tout petit mouchoir; eh bien, ce fut une déception en lettres majuscules !

J’avais l’habitude de « jouer Noël » dans notre garage, hors de la vue de mes parents. Mais je ne devais jouer mon jeu qu’APRÈS Noël, car c’est seulement à ce moment que je pouvais m’éclipser dans le voisinage pour ramasser le petit arbre de Noël que quelqu’un avait jeté. J’étais très heureux de trouver aussi des morceaux de guirlandes encore accrochées à l’arbre et de pouvoir l’emporter vivement dans notre garage. Je trouvais des papiers d’emballage de brillantes couleurs, que les gens avaient jeté, je les emportais dans mon garage et les enroulaient autour des petits blocs de bois d’environ 2’ x 4’ qui servaient quelques fois à embraser le feu. Puis je les disposais sous mon pauvre petit arbre, et je prétendais qu’ils étaient des cadeaux!

Mais mon prétendu Noël s’avérait encore plus frustrant que l’échange de cadeaux en classe! Tout était hors du temps et j’étais terrifié d’être découvert!

J’ai appris à mentir concernant Noël. Lorsque les enfants se baladaient sur leurs nouvelles bicyclettes, ou valsaient sur leur patins à roulettes, ou se tiraient l’un et l’autre dans leurs wagonnettes rouges et me demandaient « Teddy, qu’est-ce que tu as reçu pour Noël? » Je pouvais leur répondre des bas ou des sous-vêtements. Après tout, qui allait se permettre de vérifier et comment pouvaient-ils le prouver d’une manière ou d’une autre?

Pourquoi je vous raconte ces histoires? Parce que je veux que vous compreniez, avant de lire le reste de ce livre, que je voulais désespérément me conformer au monde autour de moi. J’ai été profondément irrité du fait que mes parents ne « célébraient pas Noël ». Plus tard, devenu homme, j’aurais beaucoup aimé justifier la célébration de Noël par la Bible, non seulement être capable de célébrer Noël, mais également de PROUVER qu’ on devrait le célébrer; si je pouvais prouver que le Christ était vraiment né le 25 Décembre, et qu’il veut que je célèbre Sa naissance en faisant une liste de courses pour Noël, et en se joignant à l’ « esprit de Noël », alors je vous assure que je me serais doté du plus merveilleux arbre de Noël du voisinage, j’aurais eu mes arbustes et mon toit tout illuminés et me je me faufilerais pour remplir de cadeaux les chaussettes de petits-enfance et je prétendrai venir du Père Noël.

Mais hélas! J’ai fouillé dans les livres d’histoire, encyclopédies; et la Bible. J’ai été surprise de ce que j’ai trouvé, tout comme vous le serez!

L’Origine Du Jour Férié

Le 25 Décembre n’était pas le jour de naissance de Christ. C’est seulement vers le quatrième siècle, environ le double de temps que les États-Unis d’Amérique existe comme une nation, que l’église apostat adoptait les rites et symboles païens aux croyant professant la christianité, et ainsi commençant à reconnaître des rites tels que couper des arbres et les amenant à l’intérieur pour les décorer avec des boules et des ampoules.

L’Encyclopédie Britannica affirme, « …avant le 5ème siècle, en général, il n’y avait pas de consensus d’opinions à savoir quand ça [l’Épiphanie] devait être mentionné sur le calendrier, soit le 6 Janvier, ou le 25 Mars, ou le 25 Décembre » (ibid. Vol. IV p. 293).

Origène, un de ceux qu’on appelle les « pères de l’église » (connu des érudits comme les « pères d’avant Nicée », signifiant ces écrivains de la pensée chrétienne nominale qui ont vécus avant le Concile de Nicée en 325 A.D.), a répudié l’idée même de « célébrer la naissance du Christ comme s’Il était un Roi Pharaon ». Apparemment, la toute première idée de déclarer le 25 Décembre comme étant la date de naissance du Christ est apparue en 354 A.D., plus de trois cent vingt ans après que le Christ ait envoyé l’Esprit Saint pour bâtir Son Église, de la plume même d’un chronologiste LATIN. Traduit en anglais, on pouvait lire: « Année 1 après Jésus-Christ, pendant le consulat de César et de Paulus, le Seigneur Jésus-Christ est né le 25 Décembre, un Vendredi et 15ème jour de la nouvelle lune ». Cependant, avant bien longtemps, Clément d’Alexandrie, un autre des soi-disant « pères de l’avant Nicée », a condamné de telles spéculations comme de pures superstitions. Clément, en lançant une cinglante dénonciation de tels écrits, a ajouté que certains chronologistes allègent que le Christ serait né le 20 Mai; d’autres ont dit le 19 ou le 20 Avril, et Clément lui-même a argumenté que cela est probablement arrivé le 17 Novembre, en 3 B.C. Au moins, il était un peu plus près dans ses déductions que celles qu’il a rejetées.

Le même chronologiste Latin (Catholique Romain), suivant les autres, a commencé à discuter que la date devrait être fixée le même jour que l’observation des Prêtres Mithriaques [un ordre païen tenu en admiration et respect par des adhérents superstitieux], qui ont désigné le 25 Décembre, Natalis invicti solis, ou « fête de l’invincible [indomptable] soleil ».

Mais les Chrétiens nominaux de Syrie et d’Arménie ont accusé avec mépris les romains d’adorer le soleil dans une idolâtrie évident. Ils ont aussi affirmé que le 25 Décembre aurait pu être une pure invention des disciples de Cérinthe pour commémorer la naissance « naturelle » de Jésus. Cérinthe peut être un contemporain de l’apôtre Jean pendant ses dernières années, et était un partisan d’un mélange d’agnostiques et de judaïsme, ayant la notion étrange que Jésus-Christ serait le fils « naturel » de Joseph et de Marie et que le « Christ » serait descendu sur Lui lors de son baptême, mais l’aurait abandonné avant sa mort. Il pensait aussi que la résurrection était dans le future; que Jésus était toujours mort durant son temps. Donc ses suppositions sur la naissance du Christ furent rejetées par les « pères d’avant Nicée », tels qu’Irénée, Polycarpe, et Eusèbe.

La Britannica, Onzième Edition, dit, « En Grande-Bretagne, le 25 Décembre était un festival bien avant la conversion à la Chrétienté [donc considéré comme un festival païen], en citant Bede, qui a dit que les païens appelaient ce festival « la nuit de la mère ». Ceci peut s’avérer très significatif, en effet, comme nous le verrons plus tard. Les Puritains d’Angleterre, jusqu’en 1644, par un acte du Parlement, ont déclaré “Noël” le 25 Décembre, comme étant un « festival païen », et pour montrer leur mépris, ont ordonné au peuple de jeûner pendant cette journée. Leurs descendants ont proscrit toutes célébrations du 25 Décembre païen en Nouvelle-Angleterre jusqu’à 22 ans avant que mon père, Herbert W. Armstrong, soit né, en 1892!

Actuellement, suivant leurs coutumes de superposer les observations « Chrétiennes » sur des célébrations purement païennes, l’église apostat a éventuellement établi le 25 Décembre comme le jour de la naissance de Jésus, pour faciliter à des centaines de mille de Teutons et autres, qui étaient habitués à célébrer ce jour en commémoration des « Saturnales » ou « la naissance de l’invincible soleil », pour englober la Chrétienté.

Les encyclopédies et les livres d’histoire regorgent d’information sur l’origine païenne de Noël. Même les encyclopédies Bibliques admettent cette vérité. On en trouve un exemple marquant dans New Schaff-Herzog Encyclopedia of Religious Knowledge qui affirme, « Combien la date de ce festival dépendait des Brumalia (25 Décembre), suivant les Saturnales (du 17 au 24 Décembre), et la célébration du jour le plus court de l’année et du ‘nouveau soleil’… qui ne peut être déterminé précisément. Les Saturnales et Brumalia païens, étaient trop ancrées dans les traditions populaires pour être mis à part par l’influence chrétienne…. Le festival païen avec ses émeutes et ses réjouissances était si populaire que les chrétiens étaient heureux de trouver une excuse de continuer cette célébration avec peu de changement dans son esprit et sa nature. Les prédicateurs Chrétiens de l’ouest et du Proche Orient ont protesté contre l’invraisemblable frivolité dans laquelle la naissance du Christ était célébrée, pendant que les chrétiens de Mésopotamie accusaient leurs frères de l’ouest d’idolâtrie et d’adoration du soleil en admettant un festival païen comme chrétien » (ibid. Article: « Noël »).

N’assumez surtout pas que toutes ces pratiques d’adoration du soleil soient d’anciennes coutumes n’existant plus depuis longtemps. Croyez-le ou non, il y a encore des « Saturnales » et des douzaines d’autres sectes sataniques et pratiquantes les fétichistes aux États-Unis et dans beaucoup d’autres pays « Chrétiens » DE NOS JOURS!

L’Internet contient des pages bizarres de matériel sur COMMENT CÉLÉBRER LA SATURNALE! Au moins les sataniques et les adorateurs du soleil connaissent la signification de la saison!

La Naissance De Jésus Était-Elle Le « Premier Noël »?

Le « premier noël » est une phrase bien connue. Non seulement on la retrouve dans l’un des douze chants de Noël les plus connus, mais on peut aussi la trouver sur des tasses, des verres, des boules, des lumières, sur du papier d’emballage coloré et pratiquement partout, incluant les immenses lettres érigées en éblouissantes lumières sur les terrains avoisinants.

Les mots du chant sont très bien connus: « Le premier Noël, les anges l’on bien dit, apparu aux bergers qui gardaient leurs troupeaux dans les champs de Judée », etc. Ainsi une phrase purement païenne est adaptée à l’annonce de la naissance de Christ par les anges. Des millions de personnes assument donc simplement que le « premier Noël » signifie « le premier Noël Christmas ». Ce n’est pas comme ça.

Le mot a une origine Celtique et vient de deux mots de l’ancienne région de Gaule (de nos jours la France Nordique et la Bretagne), novo Hel. Novo signifie « nouveau » et Hel signifie « soleil ». Vous reconnaitrez sûrement les deux anciens mots de notre vocabulaire anglais « novice », et « héliographe ». Cela signifie « nouveau soleil », ou solstice d’hiver, et marquait le premier jour de l’année lorsque les jours commençaient à s’allonger.

Cette fête n’est rien de plus que les anciennes Saturnales célébrées parmi différents peuples païens dans plusieurs pays avec des coutumes étrangement similaires et des croyances absurdes. Le culte du SOLEIL était virtuellement universel parmi tous les barbares, les tribus païennes, les clans et les nations.

Pour dire la vérité, la célébration de la naissance du Christ s’est produite chaque mois de l’année, chez différents peuples et à différentes périodes. Pendant plusieurs siècles, c’était célébré en Janvier. Jusqu’à ce jour, nous entendons encore l’expression « les douze jours de Noël », qui se réfère aux signes du Zodiaque et aux rituels païens agraires. En d’autres mots, comme les païens prièrent le dieu soleil, ils célébrèrent les signes des saisons; faisant appel au solis invictus, ou le soleil invincible, pour « débuter son voyage de retour aux latitudes Nord », allongeant les jours, réchauffant la terre, fondant la glace et la neige de l’hiver, et apportant encore une fois le renouveau printanier de la vie.

En prenant de telles croyances « bizarres » et en les adaptant nominalement aux croyances « Chrétiennes », l’église universelle en est venue à « convertir » d’innombrables centaines de milles de peuples barbares dans les pays du monde entier.

Tel qu’affirmé dans le livre, The Origins of Christmas, « À travers l’Europe, les festivals Romains, Allemands ou Celtiques ont toujours marqué le début de l’hiver. Le Christianisme a débuté et s’est étendue dans le monde ancien en promettant une nouvelle vie, et en annonçant l’arrivée d’une nouvelle lumière en la personne du Christ. Petit à petit, un calendrier de festivals religieux, s’est établi à partir du quatrième siècle, en remplacement des anciens rites et célébrations païennes ».

Mais les anciens rites et célébrations païennes, avec tout leur symbolisme et ordonnances, n’ont jamais été remplacés par rien qui soit « Chrétien ». Quelqu’un peut affirmer qu’un cochon est un canard cent mille fois, mais malgré tout, le cochon est toujours un cochon.

Christ N’Est Pas Né En Hiver

Christ n’est pas né le 25 Décembre ou près de cette date. La Bible nous dit, « Et elle mit au monde son fils premier-né, et l’emmaillota, et le coucha dans la crèche, parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans l’hôtellerie.

« Et il y avait dans la même contrée des bergers demeurant aux champs, et gardant leur troupeau durant les veilles de la nuit. [Noter attentivement! Les moutons avaient été assemblés dans des zones de moutons beaucoup plus tôt, aucun mouton ne «demeurait pas encore dans les champs » si tard dans l’année. Mais en Septembre ou au début de Novembre, de telles scènes auraient pu se produire. Il y a beaucoup de preuves de ces faits.] »

Il y a unanimité virtuelle sur ce point, parmi quelques-uns des commentateurs les plus connus: Barnes, Doddridge, Lightfoot, Joseph Scaliger, et Jennings, qui ont écrit Jewish Antiquities, sont tous d’accord que le 25 Décembre ne peut pas être la date de naissance du Christ. Joseph Mede, suivant une longue dissertation sur ce sujet, dit « À la naissance du Christ, toute femme et enfant devaient être enregistrés à la cité à laquelle ils appartenaient, et pour plusieurs, cela représentait un long voyage; et le milieu de l’hiver n’était pas propice pour de telles procédures administratives, spécialement pour des femmes enceintes et voyageant avec de jeunes enfants.

Par conséquent, le Christ n’aurait pas pu naître au milieu de l’hiver. De nouveau, au temps de la naissance du Christ, les bergers gardaient leurs troupeaux pendant la nuit; certainement cela ne pouvait être au milieu de l’hiver. Et si quelques-uns pensent que le vent d’hivers n’est pas si extrême dans cette partie du monde, qu’il se rappelle les paroles du Christ dans l’Évangile: « Et priez que votre fuite n’ait pas lieu en hiver », pour voir que l’hiver était un mauvais temps pour voyager et surtout pour les femmes et les enfants.

Voici ce que le Christ dit lui-même: « Alors [lorsque vous verrez l’abomination de la désolation] que ceux qui sont en Judée [la place même de la naissance de Christ] s’enfuient dans les montagnes;

« Que celui qui est sur le toit ne descende pas pour emporter ses effets hors de sa maison;   « Et que celui qui est aux champs ne retourne pas en arrière pour emporter son vêtement.

« Mais malheur à celles qui sont enceintes et à celles qui allaitent en ces jours-là!

« Et priez que votre fuite n’ait pas lieu en hiver, ni un jour de Sabbat;

« Car alors il y aura une grande tribulation, telle qu’il n’y en a point eu depuis le commencement du monde jusqu’à maintenant, et qu’il n’y en aura jamais » (Matthieu 24:16-21).

Noter comment Jésus-Christ mentionne spécialement les femmes enceintes, ou les mères allaitant, disant qu’elles devraient PRIER de ne pas fuir leurs maisons pour la campagne ou les montagnes du pays de Judée pendant l’hiver!   De plus, ce n’était pas une pratique commune pour le gouvernement romain de forcer son peuple à faire des voyages ardus et périlleux au milieu de l’hiver. Le but du recensement était de ramasser la taxe et non de créer une rébellion populaire. Alors, ils auraient dû choisir la saison de l’année où le voyage était le plus facile et non le plus difficile.

Maintenant, continuant avec le récit de l’annonce de la naissance du Christ:

« Et voici, un ange du Seigneur se trouva avec eux, et la gloire du Seigneur resplendit autour d’eux; et ils furent saisis d’une fort grande peur.

« Et l’ange leur dit: N’ayez point de peur, car voici, je vous annonce un grand sujet de joie qui sera pour tout le peuple;

« Car aujourd’hui, dans la cité de David, vous est né un sauveur, qui est le Christ, le Seigneur.

« Et ceci en est le signe pour vous, c’est que vous trouverez un petit enfant emmailloté et couché dans une crèche.   « Et soudain il y eut avec l’ange une multitude de l’armée céleste, louant Dieu, et disant:

« Gloire à Dieu dans les lieux très-hauts; et sur la terre, paix; et bon plaisir dans les hommes! [En réalité, le verset original se lit, « Paix sur terre parmi les hommes de bonne volonté »].

« Et il arriva, lorsque les anges s’en furent allés d’avec eux au ciel, que les bergers dirent entre eux: Allons donc jusqu’à Bethlehem, et voyons cette chose qui est arrivée que le Seigneur nous a fait connaître.

« Et ils allèrent en hâte, et ils trouvèrent Marie et Joseph, et le petit enfant couché dans la crèche » (Luc 2:7-16). Cependant, on peut voir les bergers ET les hommes sages ou les « Mages » (Disciples persans de « Magnus » et croyants, peut-être, en Zoroastre, qui furent forcés de reconnaître le Roi des Rois et le Seigneur des Seigneurs) se tenant debout près de la crèche dans plusieurs images, films, livres et bien sûr sur des milliers de parterres en décoration.

Mais les Mages ne sont arrivés à Bethléem qu’après un voyage de plusieurs MOIS, peut-être même une ANNÉE après la naissance du Christ. Ces faits historiques sont, cependant, sans importance pour ceux qui adoptent aveuglément « la tradition ».

Lisez attentivement le 2ème chapitre de Matthieu. Hérode n’aurait pas dû risquer de tuer tous les petits garçons de deux ans et moins s’il avait su que le Christ n’était âgé d’à peine qu’une semaine ou deux semaines! Il a ordonné le meurtre des enfants de deux ans et moins, parce qu’il avait interrogé attentivement les Mages concernant le temps où l’étoile est apparue. Remarquez dans le récit, comment les Mages “…Et étant entrés dans la MAISON [non dans la crèche], [où] ils virent le petit enfant [aucune mention de bébé ou de nourrisson] avec Marie, sa mère…” (Matthieu 2:11).

Ceci est simplement un autre exemple de l’ignorance de millions de personnes, qui, croyant célébrer une tradition « Chrétienne », n’ont jamais pensé une seule fois de lire ce récit Biblique attentivement.

Quelle Est L’Origine De L’Arbre De Noël?

Le culte de l’arbre est virtuellement universel chez les peoples païens. Jusqu’à ce jour, il y a des gens qui croient que les arbres ont une âme, et « qui demandent pardon à l’âme de l’arbre » avant de le couper.

Depuis les tous premiers temps, comme les arbres se présentent en milliers de variétés et sont tellement utiles aux hommes, les anciens leur ont attribués des qualités divines. Les arbres produisent des centaines de variétés d’aliments pour l’homme, des noix jusqu’aux bananes; des fruits à l’écorce utilisée comme épices, par exemple dans l’arbre à cannelle. Les innombrables palmiers des tropiques et du Moyen-Orient ont été utilisés pour faire des radeaux et des canots, pour bâtir des maisons, couvrir des toits, produire des vêtements et pour la production des dizaines d’autres sortes d’aliments, de la noix de coco aux dates.

Mais ce n’étaient pas seulement les hommes « primitifs » qui adoraient les arbres. Même quelques grands philosophes grecs tels que Platon et Aristote pensaient que les arbres possédaient un raisonnement, comme celles des humains, et qu’ils avaient des « sentiments ». Les anciens Égyptiens croyaient que la vie d’un humain et la vie d’un arbre avaient un certain lien entre elles; et que le destin de l’une était identique à celle de l’autre. Dans la fameuse fable Égyptienne appelée « le fable de deux frères », datant probablement de 1,000 B.C., un des frères, prétendument, « laisse son cœur sur le sommet de la fleur d’un arbre acacia », mais tombe mort lorsque l’arbre est coupé.

Il y a un lien de « magie noire » ici. Tout comme dans le vaudou, où les gens croient que les humains peuvent être maudits avec des maladies, des blessures ou même tués, par des piqures des aiguilles dans une poupée à l’image de la victime, plusieurs croyaient que la vie d’une personne était intrinsèquement liée à la vie d’un arbre. En déposant des coupures d’ongles, de cheveux humains, ou autres articles ayant été en contact direct avec l’homme, les païens croyaient qu’ils se mettaient eux-mêmes en relation « personnelle » directe avec l’arbre. Puis si certaines branches étaient coupées et examinées et qu’il arrivait qu’une flétrissure affectait l’arbre, l’homme, partant de ces faits, en arrivait à des conclusions et croyait qu’il serait frappé par une maladie ou mourir.

Les encyclopédies sont remplies de concepts païens de culte des arbres. Les traditions dans des dizaines de pays à travers le monde montrent que c’était pensée commune que les hommes et les arbres avaient des liens communs: un certain lien spirituel. Certains croyaient qu’il était possible de transférer la maladie d’une personne malade à un arbre. Ainsi ils plaçaient une mèche de cheveux, un vêtement ou un objet personnel de la personne malade; même une coupure d’ongle dans un trou niché dans l’arbre. Dans l’Onzième Édition de l’Encyclopédie Britannica, on rapporte que des personnes malades étaient passées dans l’ouverture résultant de séparation de l’arbre; et alors, si l’arbre survivait, le malade recouvrirait la santé. Aux Indes, les Korwas suspendent des linges sur les arbres formant des autels consacrés aux dieux variés du village. Même au début de l’Amérique, au Nebraska, certains croyaient que suspendre des objets aux branches des arbres leur donnait des propriétés super naturelles, ou encore leur donnait des bénédictions pour une bonne chasse et une température clémente

L’universalité du culte des arbres a également été observée par le grand voyageur Charles Darwin, le « père de l’évolution », qui a écrit à propos d’un arbre qu’il avait vu en Amérique du Sud ornée de différentes offrandes incluant des morceaux de linge, de la viande et même des cigares! Non seulement des libations étaient faites pour cet arbre mais on y sacrifiait également des chevaux.

Des temps les plus anciens, la Bible décrit comment les nations païennes habitant la Palestine au temps de Josué et de l’occupation israélite, pratiquaient le culte dans des « bosquets ». Des sculptures en bois au sommet des collines étaient utilisées comme des sanctuaires païens. Quelques fois au milieu des plantations, des cimes et des branches étaient arrachées d’un arbre debout et était ainsi taillées pour représenter un symbole phallique ou la figure d’un « dieu ». Notez un exemple fascinant :

« Et les fils d’Israël firent en secret contre l’Éternel, leur Dieu, des choses qui ne sont pas droites; et ils se bâtirent des hauts lieux dans toutes leurs villes, depuis la tour des gardes jusqu’à la ville forte;

« Et ils se dressèrent des statues et des ashères [bosquets d’arbres] sur toute haute colline et sous tout arbre vert,   « Et firent fumer là de l’encens sur tous les hauts lieux, comme les nations que l’Éternel avait transportées de devant eux; et ils firent des choses mauvaises, pour provoquer à colère l’Éternel » (2 Rois 17:9-11). Dieu leur avait commandé, tout comme Il nous le fait aujourd’hui « N’IMITEZ PAS LA VOIE des païens! » Nous commandé par Dieu de NE PAS suivre les coutumes; les « voies » du culte des esprits déments, sauvages, ignorants des peoples païens, pensant qu’ils sont « exceptionnels » ou « mignons » et ainsi prétendant être « Chrétiens ».

Dieu a dit « Et ils rejetèrent ses statuts, et son alliance qu’il avait faite avec leurs pères, et ses témoignages qu’il leur avait donnés, et ils marchèrent après la vanité, et agirent vainement, et en suivant les nations qui étaient autour d’eux, touchant lesquelles l’Éternel leur avait commandé de ne pas faire comme elles » (2 Rois 17:15).

Si les païens Amorites, Amalachites, Babyloniens, Druides, Teutons, Celtes, Grecs, Égyptiens ou Romains pouvaient revivre de nos jours, ils reconnaîtraient immédiatement plusieurs des rites pratiqués par les « Chrétiens » professant.

Mais d’où est venue l’idée d’abattre des millions d’épinettes, de sapins ou de baumes ? La plupart des autorités s’accordent pour dire que cela vient de la fable de « St. Boniface » (signifiant « joli visage »), qui aurait supposément coupé « le grand chêne de Jupiter », un arbre adoré par les païens Teutons à Geismar en Hesse, Allemagne. Comme l’histoire le dit, Boniface, qui est également identifié comme un ancien missionnaire anglais appelé « Winfred », aurait rencontré un groupe de païens qui adoraient leur immense et large chêne, le « chêne sacré de Jupiter ». Le pauvre petit Prince Asulf allait être sacrifié à « Jupiter », semble-t-il, lorsque que Boniface et son armée arrêta le sacrifice imminent et sauva Asulf.   Ensuite, Boniface ordonna de couper l’arbre. La légende varie; une version raconte qu’il a planté un conifère à sa place, une autre version dit qu’il aurait dit aux païens le jour suivant que par une sorte de miracle divin un petit conifère « aurait poussé à sa place » et que ce nouvel arbre était « l’arbre de la vie » et représentait le « Christ ».

Exceptionnel. Toujours accommodant, l’église apostat et les hommes d’église ont permis aux païens de s’accrocher à leurs symboles de culte, tout en les appelants simplement par un différend nom.

Une version de l’histoire raconte que Boniface aurait bâti une église en l’honneur de « St. Pierre » à partir de ce chêne abattu.   Un quelconque chêne!

Aujourd’hui, certains « Chrétiens » complètement ignorants vont croire aveuglément cette histoire que le « conifère est le symbole de la vie éternelle »!

Mais il y a aussi une plus ancienne version de cette histoire, dans laquelle Nimrod, le premier organisateur des cités et des cités-états (Genèse 10:8-12), identifié aussi avec Tammuz, ou le dieu-soleil, et était représenté par un chêne sacré, qui fut coupé, pour ne trouver qu’un jeune arbre vert avait poussé du tronc pendant la nuit, signifiant ainsi la « renaissance » de Nimrod, ou du dieu-soleil.

Les premiers païens Scandinaves étaient des adorateurs d’arbres, et c’était tout à fait naturel qu’on retrouve leurs « Brumalia » ou le festival d’hiver des Saturnales avec des représentation des couronnes de houx et des conifères dont les couronnes et les branches étaient amenées à l’intérieur.   Les romains échangeaient entre eux des branches de conifères le jour des « calendes », ou le 1er Janvier, comme symboles de bonne chance.

Aujourd’hui, des dizaines de millions d’arbres magnifiques, qui POUVAIENT devenir des grands sapins Douglas, épinettes, baumes, ou toutes autres sortes de conifères, et qui POUVAIENT être utilisés pour bâtir des millions de maisons et des douzaines d’autres produits de résine, papier et multiples autres produits utiles, sont coupés, puis envoyés par camions et trains à des points de distributions, puis érigés, avec une base clouée, et vendus aux « Chrétiens » pour les amener à l’intérieur et les décorer avec des boules et des lumières.

Lorsque les arbres flétrissent et meurent, ils deviennent des dangers de feu. Chaque année des enfants et des familles meurent résultants d’un court-circuit électrique causé par les lumières de l’arbre de Noël.

Dieu dit-Il quelque chose concernant l’arbre de Noël? Notez, « Écoutez la parole que l’Éternel vous dit, maison d’Israël!

« Ainsi dit l’Éternel: N’apprenez pas le chemin des nations, et ne soyez pas effrayés des signes des cieux, car les nations s’en effraient.

« Car les statuts des peuples sont vanité; car c’est un bois coupé de la forêt, façonné au ciseau par la main d’un artisan;

« On l’embellit avec de l’argent et de l’or; on le fait tenir avec des clous et des marteaux, afin qu’il ne bouge pas » (Jérémie 10:1-4). Lorsque Dieu dit N’APPRENEZ PAS le « chemin des nations », Il veut dire exactement ces mots.   Notez de plus, «Lorsque l’Eternel, ton Dieu, aura exterminé les nations que tu vas chasser devant toi, lorsque tu les auras chassées et que tu te seras établi dans leur pays,

« Garde toi de te laisser prendre au piège en les imitant, après qu’elles auront été détruites devant toi. Garde toi de t’informer de leurs dieux et de dire : Comment ces nations servaient-elles leurs dieux? Moi aussi je veux faire de même.

« Tu ne feras pas ainsi à l’Éternel, ton Dieu; car tout ce qui est en abomination à l’Éternel, ce qu’il hait, ils l’ont fait à leurs dieux; car même ils ont brûlé au feu leurs fils et leurs filles à leurs dieux. [Cela se faisait dans les plantations d’arbres, ou d’Aster, tout comme les adorateurs de Jupiter le faisaient en Allemagne].

« Toutes les choses que je vous commande, vous prendrez garde à les pratiquer. Tu n’y ajouteras rien, et tu n’en retrancheras rien » (Deutéronome 12: 29-32). Plusieurs diront que Noël et d’autres festivals païens sont « extra bibliques »; et que bien qu’ils ne se retrouvent pas dans les Écritures, ils sont quand même des inventions inoffensives de Chrétiens sincères dans l’adoration de Dieu et du Christ. Dieu se met en colère avec ses humains qui se rebellent. « Tu n’y ajouteras rien » aux méthodes d’adoration!

Dieu commande tout simplement à son peuple DE NE PAS COPIER les modes d’adoration des nations païennes dégénérées du monde entier; de ne pas s’adapter à leurs cérémonies, symboles ou rituels, et en les appelant par un différents nom. Pourtant, dans une désobéissance flagrante à cet ordre divin, des dizaines de millions se plongent dans des coutumes, que des adorateurs de soleil païens pourraient facilement identifier comme les leurs.

Aujourd’hui, TOUTE LA PÉRIODE de la fin de l’automne au mi hiver est célébrée. Le jour ou après Halloween (elle-même une célébration païenne tout à fait satanique et démoniaque), des millions d’établissements commerciaux sortent leur décorations de Noël et les installent dans leurs magasins et leurs vitrines. Dieu a commandé, « Qu’on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin, d’astrologue, d’augure, de magicien,

« D’enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts [celui qui soi-disant prédit le futur en communiquant avec les morts].

« Car quiconque fait ces choses est en abomination à l’Eternel… » (Deutéronome 18:10-12).

« C’est la saison d’être joyeux! Fa-la-la-la-la, la-la-la-la! Décorer les murs avec des branches de houx! », C’est un refrain très familier. La « saison de Noël » est exactement la même chose que « astrologie », l’observation du solstice d’hiver comme les païens adorateurs du soleil faisait.

La « saison des jours fériées », ou « la période de Noël », ou les « douze jours de Noël » sont communément cités pour exprimer la « fête de Noël », ou la « saison de Noël ».

D’Où Avions-Nous Obtenu La Bûche De Noël?

Qu’est-ce donc que la « période de Noël »? Qu’est-ce qu’une « bûche de Noël », et d’où est-elle venue?   Tout comme plusieurs de nos coutumes « modernes », la bûche de Noël est également enfouie dans les mythes et les superstitions les plus anciennes. Un mot norvégien pour le solstice d’hiver était geol, le « g » se prononçant comme « y », donc: « yeol » ou « yool ». L’Encyclopédie Britannica, Onzième Édition, déclare que le terme en est venu à signifier « la saison de Noël ». Plus loin, on peut lire : « Ce mot est utilisé principalement seul, comme un archaïsme ou en poésie ou langage poétique, mais est beaucoup plus communément employé en combinaison comme « saison de Noël » « yule-log », etc…., c’était le nom de deux mois de l’année, Décembre et Janvier; l’un étant la « saison précédente (se aerra geola), et l’autre l’ « après saison », venant avant et après le solstice d’hiver. Selon A. Fick, [sa] signification propre est bruit, clameurs, la saison étant l’une de réjouissance au tournant de la nouvelle année chez les peuples scandinaves avant les temps Chrétiens » (ibid. Vol 28, p. 946).

Écrivant à la fois sur Noël et la bûche de Noël, Hislop dit, « L’arbre de Noël maintenant tellement commun chez nous, était également important dans la Rome et l’Égypte païenne. En Égypte, cet arbre était un palmier; à Rome c’était une épinette.

« Le palmier dénote un messie païen, comme Baal-Tamar, l’épinette référant à lui comme Baal-Berith. On dit que la mère d’Adonis, le dieu soleil et une grande divinité de méditation, aurait été mystérieusement changée en arbre, et que sous cette forme, elle aurait mise au monde son fils divin. Si la mère était l’arbre, donc le fils devait être reconnu comme la « branche principale » ! Et ceci explique complètement le fait de mettre la bûche dans le feu la veille de Noël, et l’apparition de l’arbre de Noël le matin suivant… mais on peut se demander pourquoi est-il entré sous le symbole d’une bûche ?… Maintenant, la bûche est le symbole des restes de Nimrod déifié comme le dieu soleil, mais coupé par ses ennemis : l’arbre de Noël est Nimrod redivivus—le dieu mis à mort revient à la vie » (The Two Babylons, Hislop, p. 87, 98).

Satan a pavé le chemin vers la Madone et l’Enfant avec plusieurs fausses et contrefaites représentations, incluant Isis et Osiris, qui sont les représentations égyptiennes des babyloniens Nimrod and Sémiramis.

Donc il ne fallut pas beaucoup d’imagination pour les païens de saisir une occasion d’adoration, NON de Jésus Christ comme le Sauveur du monde; ou le SOUVERAIN qui reviendra sur terre pour régner inflexiblement, mais comme un «  petit bébé dans les bras de sa mère »; d’où le symbole d’adoration de la « Madone et l’Enfant ». Donc ils l’ont fait depuis plus de mille ans! Mais les paroles de Dieu NE représentent PAS Jésus Christ comme ayant été éclipsé par Sa mère et surtout ne presse PAS L’ADORATION vers la « reine du ciel », qui était le rôle de Sémiramis, la femme-mère de Nimrod!

Les Repas De Noël: Têtes De Sanglier, Oies Et Dindes

Manifestement, chaque festival païen était centré autour des aliments et des breuvages ; surtout les breuvages. Aujourd’hui, des dizaines de millions de personne dans tout le monde occidental et chrétiens se délecte en la période de Noël dans des « fêtes de bureau »; dans des fêtes de voisinage, et plusieurs autres célébrations de Noël allant des jeux à l’école aux grands concerts.

Le bol de « Tom et Jerry » est un report venant du bol « Wassail » de l’ancien temps. Les orgies des Bacchanales comprenaient de somptueux banquets et du vin. C’était le sport préféré des rois et des nobles, de chasser le sanglier à travers l’Europe et les Balkans. Mais le sanglier représentait beaucoup plus qu’une partie de chasse à la table royale. La mythologie païenne dit qu’ « Adonis » fut tué par une attaque de sanglier sauvage. Donc le sanglier était sacrifié à Adonis dans plusieurs pays. La façon dont le sanglier en est venu à figurer sur plusieurs tables médiévales anglaises (et modernes), semble être un autre récit païen, mystique et purement mythologique.   Hislop dit, « Selon une version de l’histoire de la mort d’Adonis ou Tammuz [le dieu soleil], il serait mort de la blessure infligée par les cornes d’un sanglier. Le Phrygien Attes, le bien-aimé de Cybèle, dont l’histoire est identifiée à celle d’Adonis est supposé avoir péri de la même manière, soit par les cornes d’un sanglier. Par conséquent, Diane, qui est représentée communément dans les récits comme la déesse de la chasse, était en réalité la mère des dieux, et fréquemment, on la voit accompagnée d’une tête de sanglier [dans les statues, icônes ou médailles etc. païennes], en reconnaissance non seulement de certains succès à la chasse, mais surtout de son grand triomphe sur le grand ennemi du système d’idolâtrie, dans lequel elle occupe ostensiblement une grande place…. Et en mémoire de l’action que le sanglier mystique a accomplie, ainsi plusieurs sangliers ont perdu leur tête en sacrifice à la « déesse offensée » (Ibid. P. 100).

La même autorité décrit comment les Saxes en Europe (fils de « Saac », ou « Sace », les fils d’Isaac, et donc faisant partie des « Dix Tribus Perdues ») ont offert un sanglier en sacrifice à Vénus « le jour de Noël » pour « la perte de son bien-aimé Adonis ».

Hislop a écrit, « De toute évidence, une coutume similaire existait à Rome, parce qu’un sanglier était l’objet principal à la fête de Saturne, tel qu’on peut le voir dans les paroles de Martial: « Ce sanglier vous fera une bonne Saturnales ». En fait la tête de sanglier est encore un plat nécessaire en Angleterre au repas de Noël, même si on a oublié sa raison d’être depuis longtemps. Oui, « L’oie de Noël » et la « bûche de Noël », étaient des articles essentiels dans le culte du messie babylonien, tel que pratiqué en Égypte et à Rome (ibid. P. P. 101).

Hislop inclue deux images: une représente un hiéroglyphe du dieu égyptien « Seb », avec son symbole de l’oie sur sa tête; l’autre montre un sacrifice romain d’une oie liée et placée sur un pied, sa tête mourante tombant.

Après que l’église apostat ait établi le 25 Décembre comme étant la naissance du Christ, il s’agissait simplement de compter 9 mois en arrière et établir un festival appelé « Jour de la Dame », le 25 Mars. « Jour de la Dame ». Est-ce que c’est une simple coïncidence que le 25 Mars soit une célébration païenne en l’honneur du messie babylonien et de sa miraculeuse conception dans « Cybèle », la « mère de Dieu » ou la « mère du Messie »?

Certainement, les festivals païens comprennent tous de somptueux festins (la signification de « festival »), donc il était naturel que les animaux qui composaient le festin soient symboliques. Aux États-Unis, la dinde devint la viande principale à « l’Action de Grâces », rappelant les présents des Amérindiens aux Puritains et aussi parce que la culture des gibiers tel que la dinde, était plus facile à tuer lorsque les feuilles étaient tombées au mois de novembre. Cependant, la dinde ne possède aucun symbole mystique, et la fête de l’Action de Grâces est purement une célébration nationale pour remercier Dieu de ses bénédictions et n’est aucunement liée à des jeux ou des rites païens.

« Nous Voici `Chantons Noël’ »

Un des « chants de Noël » familier est « Chantons Noël ». Pour la plupart, c’est simplement des chants contenant d’anciens mots supposés venus d’Angleterre, ou de quelque part, peut-être d’Allemagne. Mais ne connaissant vraiment pas la signification de: « Nous voici, chantant des cantiques de Noël dans le voisinage la veille de Noël ».

Mais le mot dans l’anglais ancien signifie « Sois entier », ou « Porte-toi bien ».

Supposément, cette coutume de « chanter des chants de Noël» aurait débuté avec « …la réception du roi Vortigern par Hengist, lorsque Rowena est arrivée en présence du roi, tenant dans ses mains, un gobelet d’or rempli de vin et faisant une humble révérence devant le roi, elle dit : Waes hael hlaford Cyning, ce qui signifie « Soyez en bonne santé Seigneur roi ». Dans un livre de règles pour les convenances de la maison royale pendant le règne d’Henri VII, le gardien de la douzième nuit [dans les douze nuits de Noël] devait crier « chantez » trois fois à l’entrée du gobelet et le chapelain royal devait répondre par un chant. Chantez était une tradition autant dans les monastères que dans les maisons privées, et le gobelet s’appelait poculum Caritalis.   Ce qu’on appelle plus communément chantez était la coutume de décorer avec des rubans et des brindilles de romarin un gobelet qui était promené le long des rues par des jeunes filles chantant à Noël et au Nouvel An. Cette ancienne tradition survit encore ici et là, spécialement dans le Yorkshire, où le gobelet est connu sous le nom de « tasse de gobelet » et est fait de feuilles de houx et de conifères, dans lesquelles sont placées une ou deux poupées décorées de rubans. La tasse est portée sur un bâton par des enfants qui vont de maisons en maisons en chantant des chants de Noël. Dans le Devonshire et ailleurs, il était de tradition de chanter dans les vergers [on voit les arbres de nouveau !] la veille de Noël et du Nouvel An. Des cruches de bière ou de cidre étaient versées sur les racines des arbres tout en chantant un verset à leur santé » (Encyclopédie Britannica, Onzième Édition, vol. 28, p. 361). On reconnaîtra le mot anglais « hale », comme dans « hale and hearty », dans le mot « wasshail », ou « wassheil ».

Donc ces « simples » superstitions ont été ajoutées à la coutume de « chanter » (Wassailing). En Allemagne, le garde-chasse, aussitôt que le chasseur a tué un chevreuil, casse une branche de conifères et la plonge dans le sang de l’animal, et la présente en disant un « toast » prononcé similairement au mot, « Wass-heil »! La branche de conifère ensanglantée est ensuite portée fièrement dans la bande du chapeau du chasseur.

Voici maintenant une liste de superstitions idiotes telles que pratiquées mondialement de nos jours d’un pays à l’autre pendant l’hiver, à la période de Noël et du Nouvel An. Comme le Back to Christmas Chronicles admet joyeusement, « Le milieu de l’hiver a toujours été une période où les esprits et les monstres étaient en vagabondage. C’est aussi le temps d’attendre avec impatience le printemps, d’où un excellent temps pour prédire l’avenir et les conditions météorologiques ». Alors, la liste ci-dessous est incluse:

1) À minuit la veille de Noël, tout l’eau se transforme en vin; les troupeaux s’agenouillent vers l’est; les chevaux s’agenouillent et soufflent comme pour réchauffer la crèche; les animaux peuvent parler bien qu’il soit de mauvais augure de les entendre [Comme c’est mignon, de cette manière personne n’osera détruire le mythe en les écoutant !] et les abeilles bourdonnent le centième psaume.

2) En Irlande, on croit que les barrières du ciel s’ouvrent à minuit la veille de Noël. Pendant ce bref moment, ceux qui meurent vont au ciel directement au lieu d’attendre au purgatoire. Où est Dr. Kevorkian? Il semble qu’il puisse être très occupé en Irlande, la veille de Noël.

3) Un enfant né la veille de Noël est considéré très chanceux dans plusieurs pays; cependant en Grèce, on le considère comme un démon, et en Pologne il y a de fortes chances qu’il devienne un loup-garou, selon la tradition païenne.

4) Certaines personnes idiotes ont évoqué la notion que chacun des douze jours de Noël indiquait ce que la température serait les douze prochains mois. Assez stupide, surtout si vous vivez dans les tropiques ou ailleurs.

5) En Allemagne, il y eut un temps où les jeunes filles non mariées étaient assises en cercle, on bandait les yeux à une oie et la première fille sur laquelle l’oie se frappait, sera certaine de se marier dans l’année.

6) En Europe du Nord, c’était un mauvais présage de laisser mourir le feu dans la cheminée pendant la saison de Noël, la bûche de Noël était une caractéristique de tels feux.

7) Une autre « simple » coutume était de voir lequel des époux amènerait une couronne de houx en premier dans la maison; si c’était le mari il règnera sur la maison pendant toute l’année; si c’est la femme; c’est elle qui le fera. Ceci peut résulter en une bousculade furieuse pour le houx.

8) En Grèce, on croyait que brûler ces vieilles chaussures dans le feu pendant la saison de Noël éviterait le mauvais sort pendant l’année.

9) Certains croient qu’on ne doit jamais faire tomber, échapper ou jeter les décorations des conifères après qu’ils sont installés dans la maison. Elles devraient être brûlées ou « donner à manger à votre vache ». Personnellement, je n’ai jamais vu une vache manger un conifère et le houx est un peu piquant.

10) On dit qu’en Hertfordshire, Angleterre, les récoltes sont prédéterminées en mettant un gâteau aux prunes sur les cornes de la vache, puis ensuite jeter du cidre dans sa face. Si le gâteau tombe en avant, ce sera une bonne récolte, s’il tombe en arrière ce sera une mauvaise récolte.

11) En Suède, la veille de Noël porte des démons. On croit que des « trolles » errent dans la campagne pendant les heures nocturnes et que chacun doit rester à l’intérieur.

Il y a des douzaines d’autres coutumes aussi stupides et bizarres, mais nous n’avons pas l’espace pour toutes les écrire. Plusieurs tournent autour du fait de manger des tartelettes de Noël pour avoir de la chance, et bien sûr il y a toujours l’ancienne croyance druide que le parasite du gui soit un aphrodisiaque, puisque ses fruits blancs cirés apparaissent pendant l’hiver. De ce fait le gui est accroché au-dessus des embrasures de la porte des installations de lumières, et du plafond, de telle sorte que, si quelqu’un rencontre la femme du voisin « sous la feuille de gui », il est obligatoire de l’embrasser. On n’a pas de documentations pour savoir combien de batailles, argumentations, ou même divorces ont été les résultats de cette pratique.

Comme les païens ignorants du passé, les « Chrétiens » modernes se laissent prendre à ces coutumes ridicules les croyants inoffensifs ou simplement « simples ».

Jésus Est Vraiment Né Quand?

Puisque Jésus n’est pas né autour du 25 Décembre, quand est-il vraiment né? Et si nous pouvons le déterminer avec une certaine précision, devrions-nous « observer sa naissance »?

Croyez-le ou non, il y a des indices bibliques concernant la date de naissance réelle de Jésus Christ. Cependant, il est évident que les écrivains des Évangiles n’ont pas pensé qu’il était important d’inclure la date exacte, et ils ne parlent que des événements entourant Sa naissance ou encore lorsqu’il eut atteint douze ans, et qu’il répondait aux docteurs de la Loi dans le temple, ou lorsqu’il a débuté son ministère, à l’âge d’ « environ trente ans ». En aucun endroit, la Bible encourage les chrétiens à observer la naissance de Jésus Christ, ou la naissance d’aucune autre personne importante, que ce soit Noé, Abraham, Moïse, David, Daniel ou l’apôtre Paul!

Satan, le démon est un grand faussaire. Il est un grand trompeur, qui prendra tous les moyens pour décevoir et induire en erreur les peuples de Dieu. Il connait le vieux proverbe « un manquement est aussi bon qu’un mile ou rater ». Actuellement le mot pour « péché » signifie « rater la cible ».   La simple petite égratignure d’un couteau sur le « sourire » de la Mona Lisa serait suffisant pour détruire la peinture, tout comme juste un « petit » poison infiltré dans un bon plat peut vous tuer. Si les personnes « ratent la cible » en observant des pures traditions païennes, des symboles mystiques, et les appelant « Chrétiens », le diable est satisfait, car il a trompé les personnes et les a amenées à commettre des PÉCHÉS contre Dieu, « rater la cible » de l’adoration pure du Créateur de toutes choses en faisant l’opposé de ce que Dieu a commandé, « N’imitez PAS la voie des nations ».

Pendant des décennies, j’ai su que Satan cachait ou changeait la vérité au sujet de la Paque Juive (Passover) par la substitution païenne de la fête de « Easter », ou Ishtar, une célébration de fécondité, procréation et vie nouvelle. Je savais que les lapins et les œufs symbolisent la fertilité et non rien à voir avec la résurrection du Christ.   Halloween est vivement païenne mais est en quelque sorte une célébration de RÉCOLTE, représentant le maïs, les courges et les citrouilles avec les symboles démoniaques et obscurcissent le vrai festival d’automne de Dieu, la « Fête des Tabernacles », qui tombe toujours le 15ème jour du 7ème mois du calendrier sacré de Dieu.

Mais qu’est-ce que « Noël » cache?

Qu’est-ce-qui est caché derrière cela ? Notre vie serait-elle mieux si nous savions ce qui concerne la dernière partie du mois de Décembre ? Originellement, il y avait ceux qui célébraient le 25 Décembre comme « Le jour de St. Michaelmas », proclamant que c’était le jour de l’Annonciation à Marie par l’archange Gabriel, et donc ce fut le jour de la CONCEPTION. Le jour où Dieu « est devenu chair ». Vraiment?

Il y a des indices importants que nous devrions comprendre. Le tout débute avec la naissance miraculeuse de Jean-Baptiste, qui était le second cousin de Jésus et « la voie dans le désert » devant annoncer la venue du Messie.

Lisez ce que la Bible nous dit concernant ce grand événement: « Aux jours d’Hérode, roi de Judée, il y avait un certain sacrificateur, nommé Zacharie, de la classe d’Abia; et sa femme était des filles d’Aaron, et son nom était Élisabeth.

« Et ils étaient tous deux justes devant Dieu, marchant dans tous les commandements et dans toutes les ordonnances du Seigneur, sans reproche.

« Et ils n’avaient pas d’enfant, parce qu’Élisabeth était stérile; et ils étaient tous deux fort avancés en âge.   « Or il arriva, pendant qu’il exerçait la sacrificatoire devant Dieu dans l’ordre de sa classe, que, selon la coutume de la sacrificatoire, le sort lui échut d’offrir le parfum en entrant dans le temple du Seigneur.

« Et toute la multitude du peuple priait dehors, à l’heure du parfum.

« Et un ange du Seigneur lui apparut, se tenant au côté droit de l’autel du parfum. « Et Zacharie, le voyant, fut troublé, et la crainte le saisit.

« Et l’ange lui dit: Ne crains pas, Zacharie, parce que tes supplications ont été exaucées, et ta femme Élisabeth t’enfantera un fils, et tu appelleras son nom Jean.

« Et il sera pour toi un sujet de joie et d’allégresse, et plusieurs se réjouiront de sa naissance;

« Car il sera grand devant le Seigneur, et il ne boira ni vin ni cervoise; et il sera rempli de l’Esprit Saint déjà dès le ventre de sa mère.

« Et il fera retourner plusieurs des fils d’Israël au Seigneur leur Dieu.

« Et il ira devant lui dans l’esprit et la puissance d’Élie, pour faire retourner les cœurs des pères vers les enfants, et les désobéissants à la pensée des justes, pour préparer au Seigneur un peuple bien disposé.

« Et Zacharie dit à l’ange: Comment connaîtrai-je cela? Car moi, je suis un vieillard, et ma femme est fort avancée en âge.

« Et l’ange, répondant, lui dit: Moi, je suis Gabriel, qui me tiens devant Dieu, et j’ai été envoyé pour te parler et pour t’annoncer ces bonnes nouvelles.

« Et voici, tu seras muet et tu ne pourras point parler jusqu’au jour où ce choses arriveront, parce que tu n’as pas cru mes paroles qui s’accompliront en leur temps.

« Et le peuple attendait Zacharie; et ils s’étonnaient de ce qu’il tardait tant dans le temple.

« Et quand il fut sorti, il ne pouvait pas leur parler: et ils reconnurent qu’il avait vu une vision dans le temple; et lui-même leur faisait des signes, et il demeura muet.

« Et il arriva que, quand les jours de son ministère furent accomplis, il s’en alla dans sa maison » (Luc 1:5-23).

Zacharie servait pendant « la période d’Abia » ou le HUITIÈME des périodes sacerdotales (signifiant leur temps de service assigné) dans le temple (voir 1 Chroniques 24:10). Ce service prenait place deux fois par année. Chaque période de service ou « cours » changeait à chaque semaine, débutant au Sabbat. Le compte débutait le 22ème jour de Tisri ou Tehanim, qui était le huitième jour de la Fête des Tabernacles aussi appelé le « Dernier des Grands Jours ».

Rappelez-vous que les périodes arrivent ensemble aux trois grandes Fêtes. Les dates pour les sacerdoces semi-annuelles d’Albia tombent du 12ème au 18è de Chisleu (du 6 au 12 Décembre pour nous), et du 12ème au 18ème de Sivan, soit du 13 au 19 de Juin pour nous.

Donc l’annonce de la CONCEPTION DE JEAN s’est produite entre le 13 et le 19 Juin en 5 B.C.

Le travail du vieux Zacharie s’est terminé le jour correspondant à notre 20 Juin, qui était un jour de Sabbat. Donc il n’a pas pu voyager vers sa maison ce jour-même, mais aurait quitté le 21 Juin, notre Dimanche. Il habitait « dans les régions montagneuses de la Judée » à environ 30 milles de distance. Ce voyage prenait au moins 2 jours pour un home âgé, le faisant arriver à la maison tard le 22ème jour de Sivan ou notre 23 Juin. Par conséquent, la miraculeuse conception de Jean A DU SE PRODUIRE aux environs du 23 ou 24 Juin de l’année 5 B.C!

Jusqu’ ce jour en Angleterre, le « jour de la naissance de Jean-Baptiste » est le 24 Juin! En réalité, ce n’est pas la date de sa NAISSANCE mais bien de sa conception!

Élisabeth et Marie étaient cousines. Donc, Jean-Baptiste et Jésus étaient second cousins. Jean a été conçu le 7 de Nisan, correspondant à notre 23 ou 24 Juin, en 5 BC.

Six mois plus tard, le premier jour du mois juif Tebeth, correspondant à notre 25 Décembre, 5 B.C, Jésus Christ a été procréé. Neuf mois plus tard, alors que les « bergers gardaient encore leurs brebis dans la nuit », Jésus est né à Bethléem le 29 Septembre, de calendrier, qui est tombé « AU PREMIER JOUR DE LA FÊTE DES TABERNACLES! »

Le Bullinger’s Companion Bible dit, « Le fait de la naissance de Jésus, ayant été révélé aux bergers par l’ange Gabriel le 15ème jour de Tisri correspondant au 29 Septembre, 4 B.C., et étant LE PREMIER JOUR DE LA FÊTE DES TABERNACLES, devait être connu des croyants dès l’Âge Apostolique. Mais le mystère de l’iniquité qui existait déjà dans les jours de Paul (2 Thessaloniens 2:7) a rapidement enveloppé ceci et les autres faits du jour de la conception du Seigneur le premier jour du mois Juif de Tebeth, correspondant au 25 Décembre ,5 B.C., ainsi que divers autres événements liés à son séjour sur terre, dans un vent d’obscurité dans lequel ils ont été perdus.

« La toute première allusion au 25 Décembre comme la date possible de la naissance de Jésus se trouve dans le Stromata de Clément d’Alexandrie, vers le début du Troisième Siècle A.D.

« Il n’y a aucun doute que « Noël » ait été un festival païen bien avant le temps de Jésus Christ.   En Égypte, Horus, le fils d’Isis (la reine du ciel), est né environ à la même période que le solstice d’hiver. Vers la première partie du quatrième siècle AD, la vraie raison pour observer Noël comme la date de la « miraculeuse procréation » selon Matthieu 1:18 et du « La Parole devenu chair » selon Jean 1:14 a été perdue de vue… Si, cependant, nous réalisons que ce qui est ici mentionné comme le centre de gravité, et que nous appelons l’Incarnation est vraiment l’Incarnation en elle-même, le fait merveilleux de la « conception » Divine a été quand la Parole est devenu chair, et que ceci est associé avec le 25 Décembre, au lieu Mars, comme 1,600 ans de Christianisme nous a permis de le croire, alors Noël peut être vu d’une toute autre perception… »

« L’annonce aux bergers par l’archange Michel marque la naissance de notre Seigneur. Jean 1:14 se lit comme si: « Et la Parole devint chair, et habita au milieu de nous » était une et même chose, mais ce sont deux phrases. Le paragraphe devrait se lire ainsi: « Et la Parole s’est fait chair [Gr. Ho logos sarx egeneto.] et il a habité avec [ou parmi] nous », [Gr. Kai eskenosen en hemin].

« Le mot tabernacle ici [préservé dans la marge de la version RV] reçoit une magnifique signification et nous donne la connaissance que le « Seigneur de Gloire » était trouvé en mode comme un homme et ainsi tabernacle de la chair humaine. Et cela montre aussi une aussi belle signification que notre Seigneur est né LE PREMIER JOUR DE LA GRANDE FÊTE JUIVE DES TABERNACLES. Voir Le 15ème jour de Tisri, correspondant au 29 Septembre, 4 B.C. [calcul moderne].

« La Circoncision du Seigneur a pris place le huitième jour, soit le dernier jour de la Fête. « Le Grand Jour de la Fête », selon Jean 7:37 » (ibid. Appendice 179, mis en accent mienne).

Le Christ est la figure centrale de tous les Sabbats annuels ou Fête de Dieu. Il est l’Agneau de la Passover. Il est le « Pain Vivant » décrit comme le pain sans levain des   « Jours du Pain Sans Levain » suivant la Passover. Il est le PREMIER des « prémicesʺ décrits par la « Fête des Sabbats », ou la « Fête des Prémices » qui était célébrée en comptant du 50ème [le mot « Pentecôte » est en Grec « cinquantième »] jour suivant l’offrande de la gerbe de blé pendant les Jours du Pain Sans Levain. Il est le Roi des rois, et le Seigneur des seigneurs venant bientôt, dont l’arrivée est proclamée par la trompette des archanges à la « Fête des Trompettes ». Il est notre « Pardon » dépeint par le jour de jeun Grand Pardon.

La Fête des tentes, ou kiosques, ou des baraques ou huttes ou « tabernacles » temporaires, montre notre nature entièrement transitoire; notre temporalité sur cette terre pendant notre courte durée de vie physique.

C’est également l’ombre d’une vision, et un regard vers le future de l’héritage éventuel de notre esprit, lorsque nous serons dans le royaume de Dieu.

Notez: « Or je dis ceci, frères, que la chair et le sang [ceci veut dire vous et moi, dans nos corps physiques] ne peuvent pas hériter du royaume de Dieu, et que la corruption non plus n’hérite pas de l’incorruptibilité.

« Voici, je vous dis un mystère: Nous ne nous endormirons pas tous [mourir: la Bible utilise continuellement le mot profond sommeil comme un genre de mort], mais nous serons tous changés:

« En un instant, en un clin d’œil, à la dernière trompette, car la trompette sonnera et les morts seront ressuscités incorruptibles, et nous, nous serons changés.

« Car il faut que ce corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce mortel revête l’immortalité » (1 Corinthiens 15:50-53).

Lisez le 15ème chapitre de 1 Corinthiens en entier. Paul explique que le corps humain devra pourrir, mais que dans la résurrection, un nouveau corps spiritual sera donné aux morts dans le Christ, ou ceux qui vivent dans le Christ qui seront transformés « en un clin d’œil ».

Notez: « Mais quelqu’un dira: Comment ressuscitent les morts, et avec quel corps viennent-ils? « Insensé! Ce que tu sèmes n’est pas vivifié [fait vivant] s’il ne meurt;

« Et quant à ce que tu sèmes, tu ne sèmes pas le corps qui sera, mais le simple grain, de blé, comme il se rencontre, ou de quelqu’une des autres semences;

« Mais Dieu lui donne un corps comme il a voulu, et à chacune des semences son propre corps.

« Toute chair n’est pas la même chair; mais autre est celle des hommes, autre la chair des bêtes, autre celle des oiseaux, autre celle des poissons:

« Et il y a des corps célestes et des corps terrestres; mais différente est la gloire des célestes, et différente celle des terrestres;

« Autre la gloire du soleil, et autre la gloire de la lune, et autre la gloire des étoiles, car une étoile diffère d’une autre étoile en gloire.

« Aussi est la résurrection des morts: « Il est semé en corruption, il ressuscite en incorruptibilité; « Il est semé en déshonneur, il ressuscite en gloire; il est semé en faiblesse, il ressuscite en puissance;

« Il est semé corps animal, il ressuscite corps spirituel. S’il y a un corps animal, il y en a aussi un spirituel » (1Corinthiens 15:35-44).

Vous et moi vivons dans un corps physique. Nous pouvons perdre une jambe, un bras ou un œil, et nous sommes encore vivants. Notre pouvoir, psyché, personnalité, conscience et volonté habitent dans les régions frontales de notre cerveau, et non dans notre genou ou coude.

L’Esprit Saint de Dieu entre dans notre PENSÉE, changeant notre pensée de charnelle en spirituel, il n’entre pas dans notre genou ou notre coude.

Lorsque Dieu nous a engendrés de Son Esprit nous sommes devenus un de ses enfants spirituels. Il est notre PÈRE, non seulement dans le sens spiritual, ou « à titre spirituel » mais dans un sens RÉEL! Notez comment Paul l’exprime: « Car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu, ceux-là sont fils de Dieu.

« Car vous n’avez pas reçu un esprit de servitude pour être derechef dans la crainte, mais vous avez reçu l’Esprit d’adoption [le Mot Grec signifie plus que l’adoption légale, il connote la « filiation »], par lequel nous crions: Abba, Père!

« L’Esprit lui-même rend témoignage avec notre esprit, que nous sommes enfants de Dieu;

« Et si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers; héritiers de Dieu, cohéritiers de Christ; si du moins nous souffrons avec lui, afin que nous soyons aussi glorifiés avec lui » (Romains 8:14-17).

La Parole de Dieu dit qu’ « il y a un esprit dans l’homme ». La plupart des personnes l’appelle faussement « l’âme », croyant en la doctrine païenne de « l’immortalité de l’âme ».

Mais l’esprit humain n’a aucune conscience à part de la vie physique soutenue par le flot de sang. On dit qu’il est profondément ENDORMI lorsque le corps meurt. Notez comment Paul le répète plusieurs fois “…et si Christ n’a pas été ressuscité, votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés:

« Ceux donc aussi qui se sont endormis [signifiant « sont morts »] en Christ ont péri. « Si, pour cette vie seulement, nous avons espérance en Christ, nous sommes plus misérables que tous les hommes.

« Mais maintenant Christ a été ressuscité d’entre les morts, prémices de ceux qui sont endormis (1 Corinthiens 15:17-20).

L’esprit humain allié avec l’Esprit Saint de Dieu, devient un ÊTRE SPIRITUEL nouveau, unique et jamais vu, une nouvelle création spirituelle!

Vous Êtes Unique!

Il n’y a personne d’autre comme vous. Vous êtes unique ! Vos empreintes digitales sont différentes de toutes autres personnes parmi les cinq milliards d’êtres humains. Votre ADN est unique. Le « modèle » qui a été transmis à l’œuf fertile dans le corps de votre mère par votre père, fait de vous ce que vous êtes.

Dans un début microscopique VOUS êtes devenu ce que vous êtes. Cela s’est produit en un moment dans le temps, pourtant, tout ce que vous alliez devenir : vos empreintes digitales uniques, la couleur et la texture de vos cheveux, la couleur de vos yeux, la couleur et la texture de votre peau, votre musculature et votre stature physique, incluant les talents tels que la musique, les capacités athlétiques, ont débuté au moment de la conception. À ce moment vous là, VOUS êtes devenus ce que vous êtes. Vous ÊTES DEVENUS à partir de ce moment-là. Pourtant, vous étiez plus petit que le point à la fin de cette phrase.

Des millions de personnes prennent la procréation humaine, la vie elle-même, comme acquis. Mais la vie humaine ainsi que les lois extraordinaires de la « biogénèse », qu’une espèce se reproduit en lui-même, un miracle.

La Bible utilise le mot engendré (conception) et naissance comme des analogies pour nous aider à comprendre l’engendrement et la renaissance spirituelle. Presqu’intuitivement, les sociétés à travers le monde, allant des plus primitives aux plus développées, croient qu’il y a quelque chose de « spirituel » dans la vie humaine, qu’il y a une certaine forme de vie après la mort. Très peu semble vouloir accepter la simple vérité sur la prochaine vie de celui qui a conquis la mort dans la chair humaine: Jésus-Christ.

Il dit à Nicodème: « En vérité, en vérité, je te dis: Si quelqu’un n’est né d’eau et de l’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu.

« Ce qui est né de la chair est chair; et ce qui est né de l’Esprit est esprit. « Ne t’étonne pas de ce que je t’ai dit: Il vous faut être nés de nouveau.

« Le vent souffle où il veut, et tu en entends le son; mais tu ne sais pas d’où il vient, ni où il va: il en est ainsi de tout homme qui est né de l’Esprit » (Jean 3:5-8). Nicodème savait que le terme que le Christ utilisait pour naissance, était exactement le même terme qu’on utiliserait pour décrire la naissance humaine ou animale. C’est pourquoi il a rétorqué, « Comment un homme peut-il naître quand il est vieux? Peut-il entrer une seconde fois dans le sein de sa mère et naître? » (Jean 3:4). Nicodème n’essayait pas de faire de l’humour obscène. Il savait que le Christ parlait de la NAISSANCE réelle et non une quelconque expérience émotionnelle, et la preuve est dans ses questions.

Le Christ a alors donné un simple fait. Ce qui est né de la chair EST CHAIR; et ce qui est né de l’Esprit EST ESPRIT. Simple, et pourtant des millions refusent de le croire ou de l’accepter, et préfèrent tordre ce simple énoncé en une forme de pretzel de contorsion confuse, et croient qu’être « né de nouveau » est une expérience émotionnelle, ou « le parler en langues ».

Le mot grec que Jean utilise est gennao. Dans le Grec, le processus de conception complet : le développement fœtal, la parturition naissance, est renfermé dans ce seul mot. Juste comme vous et moi avons été ENGENDRÉS au moment où le sperme de notre père A fécondé l’œuf fertile de notre mère, ainsi nous pouvons devenir DES ENFANTS DE DIEU ENGENDRÉS au moment où l’Esprit Saint de Dieu entre dans notre esprit, pour s’unir à l’esprit humain, et former « une nouvelle créature » en Christ!

L’Inspirante Vérité Sur Les « Tabernacles »

C’est parce que Satan a obscurci les vérités fabuleuses comprises dans les types qui nous sont présentés dans le sabbat annuel de dieu, que des millions sont déçus et confus.

Paul savait qu’il habitait dans « un tabernacle temporaire », son corps, et il savait qu’à sa mort, son corps reposerait dans une tombe, mais que la nouvelle création spirituelle, la « nouvelle créature en Dieu » serait tout simplement « endormie » et serait ressuscitée au retour du Christ.

Il écrit: « Car c’est le Dieu qui a dit que du sein des ténèbres la lumière resplendît, qui a relui dans nos cœurs pour faire luire la connaissance de la gloire de Dieu dans la face de Christ.

« Mais nous avons ce trésor [cette connaissance sans prix du plan de rédemption de Dieu] dans des vases de terre, afin que l’excellence de la puissance soit de Dieu et non pas de nous » (2 Corinthiens 4:6, 7). Paul savait que nos corps sont comme des bols de terre cuite, ou des urnes. Ils ne sont que des vaisseaux de terre cuite simplement temporaires, fragiles mais contenant quelque chose de très précieux.

Il dit: « C’est pourquoi nous ne nous lassons point; mais si même notre homme extérieur dépérit [le vieillissement et éventuellement la mort], toutefois l’homme intérieur est renouvelé de jour en jour.

« Car notre légère tribulation d’un moment [en comparaison, nos vie charnelles ne sont qu’un bref temps], opère pour nous, en mesure surabondante, un poids éternel de gloire,

« Nos regards n’étant pas fixés sur les choses qui se voient, mais sur celles qui ne se voient pas: car les choses qui se voient sont pour un temps, mais celles qui ne se voient pas sont éternelles » (2 Corinthiens 4:16-18). Combien vrai! Nous ne pouvons voir, goûter, sentir, écouter ou toucher l’esprit. Nous savons des choses physiques grâce à des sensations, mais nous pouvons comprendre les choses spirituelles seulement par la puissance de l’Esprit Saint de Dieu. Nos corps sont « temporels » (pour un temps), ce qui signifie transitoires et temporaires. Mais la vie spirituelle qui peut nous être transmise est PERMANENTE, éternelle.

Paul écrit: « Car nous savons que, si notre maison terrestre qui n’est qu’une tente, est détruite, nous avons un édifice de la part de Dieu, une maison qui n’est pas faite de main, éternelle, dans les cieux.

« Car aussi, dans cette tente, nous gémissons, désirant avec ardeur d’avoir revêtu notre domicile qui est du ciel, « Si toutefois, même en étant vêtus [d’un corps spirituel, avec une vie éternelle], nous ne sommes pas trouvés nus.

« Car aussi nous qui sommes dans la tente [nous « les nouvelles créatures du Christ » qui habitons temporairement dans un corps humain, et physique] nous gémissons, étant chargés; non pas que nous désirions d’être dépouillés, mais nous désirons d’être revêtus, afin que ce qui est mortel soit absorbé par la vie » (2 Corinthiens 5:1-4).

Cela peut-il être plus évident?

Les splendides types d’habitations dans les « tentes » ou « cabines » pendant la Fête des Tabernacles en Automne gravent sur nous la TEMPORALITÉ de cette vie humaine; le cycle éphémère de nos corps physiques, et le désir ardent d’une vie après la mort; une vie éternelle avec le Christ dans son royaume. Notez plus loin, « En sorte que si quelqu’un est en Christ, c’est une nouvelle création: les choses vieilles sont passées; voici, toutes choses sont faites nouvelles » (2 Corinthiens 5:17).

Être « en Christ » signifie être converti, baptisé, et recevoir l’Esprit Saint de Dieu. « Or vous n’êtes pas dans la chair, mais dans l’Esprit, si du moins l’Esprit de Dieu habite en vous; mais si quelqu’un n’a pas l’Esprit de Christ, celui-là n’est pas de lui (Romains 8:9).

Ces mots ne sont pas des phrases moralisatrices qui sonnent tellement comme du « poivre et sel » spirituels, pour être rapidement lu ou entonnés dans un sermon, avec presque pas de sens.   Paul voulait dire que lorsque nous avons reçu l’Esprit Saint de Dieu, nos vies ne sont plus seulement charnelles, faites d’un organisme métabolique physique et temporaire dépendant de nourriture, d’eau et d’air pour une survivance quotidienne, mais constituées EN ESPRIT, parce que une nouvelle CRÉATION spirituelle a été engendré en nous. Si vous êtes une personne repentie, convertie, baptisée, sur qui les mains ont été imposées pour la réception du Saint-Esprit de Dieu, vous êtes un «nouvelle création» dans un corps physique temporaire.

Quelqu’un peut dire « J’ai perdu ma jambe à la guerre », mais la PERSONNE est toujours là; la personnalité, le caractère, la mémoire, la volonté, l’habilité de prendre des décisions, la conscience; tout est intact. Porté à l’extrême, même une personne aveugle, manchote, ou sans jambe est vivante, aussi longtemps que l’intelligence humaine vit dans le cerveau.

Paul écrit: « L’Esprit lui-même rend témoignage avec notre esprit [chacun de nous possède un esprit humain dans les lobes frontaux de notre cerveau], que nous sommes enfants de Dieu » (Romains 8:16).

Lorsque vous êtes né, vous aviez les caractéristiques physiques des deux parents. Ceci est devenu plus évident alors que vous avez grandi. Lorsque Dieu nous a donné Son Esprit saint, qui nous a été transmis en tant que Ses enfants, Il nous a transmis un peu de sa propre nature: « Par lesquelles il nous a donné les très-grandes et précieuses promesses, afin que par elles vous participiez de la nature divine, ayant échappé à la corruption qui est dans le monde par la convoitise » (2 Pierre 1:4).

Comme j’ai partagé la nature de mon père humain et physique, Herbert W. Armstrong, et je possède plusieurs des traits et caractéristiques de sa personnalité, ainsi nous partageons la nature de notre Père Divin dans notre « être intérieur » ou dans notre « nouvelle création en Christ ».

Notez comment l’apôtre Pierre rappelle aux chrétiens la présence de cette « tente » temporaire dans laquelle nous vivons: « C’est pourquoi je m’appliquerai à vous faire souvenir toujours de ces choses, quoique vous les connaissiez et que vous soyez affermis dans la vérité présente.

« Mais j’estime qu’il est juste, tant que je suis dans cette tente [signifiant qu’aussi longtemps qu’il vit physiquement dans son corps], de vous réveiller en rappelant ces choses à votre mémoire,

« Sachant que le moment de déposer ma tente s’approche rapidement, comme aussi notre Seigneur Jésus Christ me l’a montré » (2 Pierre 1:12-14).   Jésus avait dit à Pierre qu’un jour il serait martyr. Pierre savait que ce temps approchait. Avec le puissant ESPOIR engendré par la connaissance de Dieu, Pierre savait que SA VIE était constituée dans la « nouvelle création en Christ »; une vie SPIRITUELLE qui n’habitait que temporairement dans corps physique et humain.

Une telle foi inspire courage et confiance. Pierre pourrait faire face au martyr avec une solide détermination, sachant ce qui l’attendait. Il a écrit : « Mais je m’étudierai à ce qu’après mon départ vous puissiez aussi en tout temps vous rappeler ces choses » (Verset 15).

C’est très clair! Pierre a parlé de son corps physique comme une habitation temporaire: une « tente » qui était sujette à la mort.

La profonde et émouvante réalité concernant la procréation et la naissance du Christ a été ensevelie sous une avalanche confuse et compliquée de mythes et de superstitions païennes! Noël obscurci la VRAIE période de la naissance de Jésus, qui était LE PREMIER JOUR DE LA FÊTE DES TABERNACLES!

Les Tabernacles sont des représentations de la vérité que vous venez de lire: que nous habitons temporairement dans un corps humain et physique, mais qu’une nouvelle création, qui n’est jamais été et qui ne sera jamais, d’une seule fois, UNIQUE en Christ, possédant la Nature Divine, naîtra dans le Royaume de Dieu.

Le Christ est venu sur terre pour « habiter » dans une chair humaine! Ceci est la véritable signification de Jean 1:14, « …Et la Parole devint chair, et habita [comme dans un tente] au milieu de nous … »

Son séjour temporaire parmi les créatures de son propre modèle et création, avait plusieurs raisons profondes. Il est venu pour vivre une vie parfaite dans la chair à travers l’Esprit Saint de Dieu, devenant ainsi un sacrifice sans faute et immaculé pour nos péchés. Il est venu pour appeler, enseigner et donner des pouvoirs à ses disciples soit bâtir Son Église. Il est venu pour annoncer la bonne nouvelle (l’Évangile) de la venue du royaume de Dieu; le GOUVERNEMENT de Dieu qui gouvernera sur toutes les nations avec un sceptre de fer pendant 1000 ans (Apocalypse. 2:26; 3:21; 20:4). Il est venu pour DISqualifier Satan, le « seigneur de la mort » et pour se qualifier comme le Roi des rois et le seigneur des seigneurs. Il est venu pour mourir pour les péchés de l’humanité et pour ressusciter d’entre les morts, pour monter vers Son Père, ayant condamné le péché dans la chair. Il est venu pour se qualifier comme notre GRAND PRÊTRE, comme tout le livre des Hébreux nous explique.

Combien FABULEUSES sont ces VÉRITÉS divines, comparées à celle du Père Noël supposément descendant dans la cheminée, les couronnes de houx, le gui, Rodolphe le renne au nez rouge, la bûche de Noël et les boules et les lumières sur l’arbre symbolisant la fertilité et le culte païen du soleil!

Bien sûr, S’IL N’Y A PAS DE DIEU, rien de cela ne fait une différence.

Mais DIEU EXISTE, et Il tonne sur l’humanité rebelle: «N’APPRENEZ PAS LE CHEMIN DES NATIONS!»

Des millions vont rationaliser leurs continuelles observations des coutumes païennes, et sont confortables parce que « tout le monde le fait ». Mais Dieu a dit à ceux qui vivent comme « une Babylone spirituelle », « Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez pas à ses péchés et que vous ne receviez pas de ses plaies:

« Car ses péchés se sont amoncelés jusqu’au ciel, et Dieu s’est souvenu de ses iniquités » (Apocalypse 18:4, 5).

Serez-VOUS celui qui se donnera à Dieu, et sortira de la Babylone vers la glorieuse lumière de la vérité de Dieu?


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Cette publication est destinée à être utilisée comme un outil d’étude personnelle. Veuillez savoir qu’il n’est pas sage de prendre toute parole humaine pour argent comptant. Pour cela, cherchez la preuve de toute chose par vous-même en étudiant les pages de votre propre Bible.

Les activités de l’Association Evangélique Garner Ted Armstrong sont supportées par des dimes, des offrandes et des dons Consentis librement par des Chrétiens et des collaborateurs qui se sont dédiés à la prédication de l’Evangile de Jésus Christ.